Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 14:35

La Coalition Priorité Cancer au Québec veut que les garçons soient vaccinés contre le HPV :

  

Communiqué envoyé le 2013-05-13 

  

MONTRÉAL, le 13 mai 2013 /CNW Telbec/ - La Coalition Priorité Cancer au Québec appuie la Corporation de Sensibilisation VPH qui demande au gouvernement du Québec de suivre les recommandations du Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) pour inclure les garçons au programme de vaccination contre le HPV en milieu scolaire. La Coalition souhaite que ce programme soit implanté à l'automne 2013 dans les écoles, comme l'est déjà celui des filles.

 

« Le plan d'action 2013-2015 en cancérologie du ministère de la Santé et des Services sociaux maintient la vaccination contre le HPV pour les filles, mais oublie malheureusement d'inclure les garçons. Or, le virus du HPV ne fait de discrimination entre garçons et filles. », souligne madame Nathalie Rodrigue, T.M., présidente de la Coalition Priorité Cancer au Québec.

 

La Corporation de sensibilisation HPV abonde dans le même sens que la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada(SOGC), laquelle est d'avis qu'un programme d'immunisation non discriminatoire aidera également à éliminer la stigmatisation sexuelle qui, jusqu'à présent, a empêché la mise en œuvre de programmes de vaccination contre le HPV. Sa présidente et porte-parole, madame Teresa Norris, rappelle que « toutes les informations scientifiques existantes indiquent que le vaccin contre le HPV apporte un haut niveau de protection contre les cancers liés au HPV et contre les verrues génitales durant de nombreuses années suivant la vaccination ».

 

De plus, elle ajoute « qu'avec l'annonce récente de l'Île-du-Prince-Édouard et de l'Alberta d'étendre aux garçons leur programme de vaccination contre le HPV, les garçons du Québec méritent d'avoir le même accès à ce vaccin et d'être protégés eux aussi contre l'acquisition et la transmission de l'infection au HPV ».

 

À propos de la Corporation de sensibilisation HPV Partenaire de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) et de la Société de gynéco-oncologie du Canada, et membre de la Coalition Priorité Cancer au Québec, la Corporation de Sensibilisation HPV est le seul organisme de bienfaisance reconnu et bilingue œuvrant à l'échelle canadienne. À ce titre, elle est la seule organisation au Canada dont l'objectif est de sensibiliser la population au HPV, ce qu'elle fait essentiellement par l'intermédiaire de son programme d'information. Depuis 2006, la Corporation est responsable de la diffusion de l'information sur le HPV d'un bout à l'autre du système scolaire canadien auprès d'élèves de tous âges, de leurs parents et du corps professoral.

 

À propos de la Coalition Priorité Cancer au Québec

 

La Coalition Priorité Cancer au Québec a été fondée en 2001 dans le but de donner une voix, soutenir et défendre les personnes touchées par le cancer (les patients, les survivants, les proches aidants et leurs familles), pour appuyer les organismes communautaires et les professionnels de la santé œuvrant en cancer et pour renforcer l'organisation de la lutte contre le cancer. Par ses membres, la Coalition représente près de 1,5 million de personnes. 

  

Source: Lelezard

 

Voyons maintenant si cette "Coalition Priorité Cancer" du Québec est indépendante ou pas des fabricants de vaccins....

 

coalition-priorite-cancer-Quebec.JPG

 

Ahhhh non, il nous faut déchanter ! Voyez ci-dessous...GSK, Sanofi et Merck, les fabricants du Gardasil et du Cervarix, font clairement partie des partenaires financiers de cette Coalition (capture d'écran du site):

 

Coalition-cancer-quebec-partenaires.JPG

 

 

MON CUL!

En attendant, qu'on se "rassure", l'agence américaine des Médicaments (la FDA), planche actuellement sur l'indication du Gardasil en prévention du cancer anal chez les hommes et les femmes de 9 à 26 ans. Outre que le cancer anal est vraiment anecdotique dans cette catégorie de gens aussi jeunes, cette démarche de la FDA se base sur un essai clinique n'ayant porté que sur 602 homosexuels! Et voilà comment on arrive à trompéter sur les soi-disant 78% d'efficacité sur la prévention du cancer anal chez ce groupe d'homosexuels!

 

Et quid des cancers anaux liés aux autres souches? La vérité, c'est que ces vaccins ont de moins en moins la cote, les fabricants baissent leurs prix pour les écouler en nombre dans les pays pauvres et essaient aussi de trouver de nouvelles indications pour rebooster leurs ventes dans les pays riches. Tout manipulateur prospère au dépend des plus crédules...

Partager cet article
Repost0
8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 13:20

VACCIN HPV - TEMOIGNAGE

 

« Si je m’étais donné la peine de faire des recherches, et si j’avais trouvé ce que je sais aujourd’hui, nous aurions maintenant une fille en pleine santé. »

Glenda Smith

 

« Aucun consentement éclairé ne nous a été proposé avant que le Gardasil  finisse par bouleverser toute notre vie »

 

Par Glenda Smith, 3 mai 2013

 

Angela-Smith.jpg

Le Gardasil a bouleversé toute ma vie !

 

A l’automne 2010, j’éprouvais des réticences à donner mon consentement pour qu’Angela puisse être vaccinée contre le HPV. Je me souviens avoir pensé que ma fille n’avait pas besoin de cela, mais je me disais que je n’étais peut-être pas une mère responsable si je ne la faisais pas vacciner. Selon l’information dont je disposais, le seul risque que ma fille pouvait courir c’était si elle souffrait de « grave maladie immunitaire comme le SIDA ». Je savais qu’Angela souffrait un peu de fatigue chronique et de la maladie cœliaque. Mais, on nous avait évoqué les mots « GRAVE » et « SIDA » - ce sont évidemment des mots forts qui ne semblaient pas correspondre au cas d’Angéla.

 

Ainsi, confiante dans ce que je sais maintenant être un vulgaire bout de papier peu informatif, j’ai signé et Angela a reçu ses vaccins.

 

En avril 2011, Angie avait 13 ans et était en huitième année quand elle reçut sa dernière dose du vaccin HPV.

 

Le 15 avril 2011, Angela me téléphona pour me dire qu’elle ne se sentait pas bien, elle se sentait malade, nauséeuse ; elle avait des vertiges et souffrait de douleurs abdominales terribles. Nous avons examiné tout ce qu’elle avait mangé. Les douleurs ne se sont pas apaisées. Chaque fois qu’elle mangeait, les choses empiraient. Elle pleurait et pleurait de douleur.

 

Angela n’a pas été capable de faire son voyage de fin de 8 ème année. Elle a raté ses 3 derniers mois d’école suite à une faiblesse extrême, à de terribles douleurs abdominales, des nausées et des vertiges. Les visites médicales, les analyses de sang n’ont rien arrangé. On ne s’est même pas préoccupé de sa dernière vaccination. Une endoscopie a révélé que sa maladie cœliaque était cependant sous contrôle. Le pédiatre lui a fait passer test sur test sans que cela révèle quoi que ce soit ; ses symptômes ont persisté. C’est alors que le pédiatre a commencé à douter de la sincérité d’Angela et a demandé qu’elle soit examinée dans un hôpital psychiatrique de la ville. Il n’a cependant pas été question que nous nous y rendions. Angela avait toujours été une jeune-fille stable, déterminée et patiente.

 

Ce n’est que quand j’ai fait part de ses différents symptômes  à un service de santé local que j’ai brusquement réalisé qu’elle avait reçu le vaccin Gardasil.

 

Ce n’est qu’après avoir expliqué tous les effets indésirables qu’elle avait éprouvés à la suite de la vaccination que les médecins du Centre local de santé nous ont orientés vers le site du fabricant du vaccin (Merck) en nous suggérant de consulter la notice.

 

J’ai de suite été consternée par la longue liste d’effets secondaires qui étaient présentés de manière tout à fait différente de l’information qui m’avait été transmise.

 

La notice précisait qu’un système immunitaire affaibli constituait l’un des risques. Tout en bas de la liste des effets secondaires possibles, il était précisé qu’il ne s’agissait pas d’une liste complète ! Si j’avais eu l’occasion de lire ce document à temps, jamais je n’aurais donné mon accord pour qu’Angela reçoive le Gardasil. Au grand jamais !

 

Je me suis empressée de demander au Centre de santé  pourquoi ce que j’avais découvert ne faisait pas partie de l’information que j’avais reçue avec le formulaire d’autorisation de la vaccination. Ils m’ont tout simplement répondu qu’ils n’y étaient pas obligés.

 

Une petite recherche dans le domaine des lois canadiennes concernant la santé montre pourtant que les médecins sont tenus de mentionner tous les risques. Ils sont tenus de mentionner tous les avantages comme aussi tous les effets secondaires indésirables qu’ils soient mineurs ou graves.

 

Les médecins sont en outre tenus de donner des informations sur les traitements alternatifs. Je sais maintenant qu’on aurait dû me parler du simple frottis régulier.

 

Il m’apparaissait maintenant évident que tout ce qui concernait le vaccin HPV relevait de tactiques manipulatoires.

 

Quand elle eut 14 ans, Angela s’est rendue à Toronto dans un hôpital de renommée mondiale. Elle y a fréquenté le département des enfants malades et rencontré divers spécialistes. De nombreuses prises de sang, procédures diverses, tests de vidange gastrique, MRE, et la liste continue. Une nouvelle endoscopie et coloscopie ont révélé des inflammations ci et là. Résultats : « cause inconnue… nous allons traiter ». Angela a ensuite reçu mise sous toute une série  médicaments. On a traité les symptômes, mais sans aucune amélioration…

 

La 9ème année d’études commence et miraculeusement Angela parvient à tenir le coup pendant 6 semaines en se rendant à l’école 3 fois par semaine. Elle a ensuite craqué ; c’était trop pour elle. Elle ne parvenait pas à sortir du lit plusieurs jours d’affilée.

 

Encore et toujours des analyses de sang qui ne montrent rien…A plusieurs reprises, nous avons insisté pour qu’elle puisse suivre un enseignement à domicile.

 

Angela a fini par être épuisée émotionnellement et physiquement : un médecin disait une chose, pour un autre il s’agissait d’autre chose… et Angela s’épuisait en essayant de suivre leurs conseils. Aujourd’hui, deux ans plus tard, Angela n’a fondamentalement plus confiance dans les médecins.

 

Janvier 2012, Angela essaye de calmer ses douleurs abdominales en se roulant par terre en pleurs. Cette situation a duré des mois. Elle a finalement été admise pour 2 semaines à l’hôpital des enfants malades. Elle y était nourrie au moyen d’un tube qui rentrait par le nez  et descendait dans l’estomac. C’est par cette voie qu’on lui administrait du Tolerex. Pendant ce temps, il lui était interdit de boire et de manger. Dès le début de ce traitement, elle s’est sentie encore plus mal et avait sans cesse des ballonnements. Mais en dépit de ses pleurs incessants, les soignants l’ont obligée à continuer. Ce furent deux semaines parmi les plus bouleversantes qu’elle n’est pas prête à oublier. Après avoir dû continuer ce régime pendant une semaine à la maison, nous avons décidé que, maintenant cela suffisait. Il s’avère maintenant qu’elle est très sensible aux hydrates de carbone et le premier ingrédient qu’on lui administrait à l’hôpital par le tube était de l’amidon de pommes de terre ! Encore une fois des souffrances parfaitement inutiles.

 

Aujourd’hui, Angela a presque 16 ans. Suite à toutes nos démarches et insistances, les médecins envisagent maintenant que le Gardasil ait pu être une cause possible de ses mystérieux problèmes auto-immuns.

 

Aujourd’hui, quand elle a de la chance, Angela fréquente l’université 2h1/2 par jour 3 ou 4 fois par semaine. Nous nous demandons quand elle parviendra à rattraper son retard et à suivre les cours normalement.

 

Angela est maintenant aidée par un spécialiste des problèmes gastro-intestinaux, par une équipe spécialisée dans les problèmes de la douleur et par un psychologue. Angela consulte également un docteur en naturopathie, un nutritionniste et le médecin qui dirige la clinique de naturopathie. Elle a essayé des traitements à base de vitamines, minéraux, des traitements par intraveineuse. Elle a dû prendre jusqu’à 20 compléments alimentaires par jour. Tout cela n’a fait que changer peu de chose dans sa vie. Elle continue à manger très peu pour éviter les douleurs et les ballonnements. Angela a aussi essayé l’acupuncture. Elle s’épuise à essayer trente-six mille choses sans que son état de santé puisse s’améliorer.

 

Avant le Gardasil, sa maladie cœliaque était complètement sous contrôle et malgré ses problèmes de fatigue chronique, elle faisait partie d’une équipe de basket ; elle jouait au volley, s’exerçait au trampoline, faisait de la gymnastique, de l’équitation, sortait avec des amis et était considérée comme une des plus brillantes élèves de sa classe. Sa plus grande joie et son ambition était de pouvoir, un jour, faire partie de l’équipe officielle de basket de la Haute Ecole. Une ambition à laquelle elle a bien entendu dû renoncer.

 

Aujourd’hui, elle peut tout juste faire des activités très légères qui ne durent pas plus de deux à trois heures par jour. Les sports auxquels elle s’adonnait ne lui sont désormais plus possibles. Si un jour elle est tentée d’exagérer, elle doit payer la note en passant 2 à 3 jours au lit. Etant donné sa faiblesse, elle ne voit plus ses amis que  très rarement… Comment son état pourrait-il lui permettre de faire des projets d’avenir ? Il ne semble en outre exister aucun remède à son état. Elle pleure souvent en pensant à toutes ses activités qu’elle ne peut plus faire. Jour après jour, elle doit vivre avec l’un ou l’autre des symptômes suivants :

 

  • Douleurs abdominales qui s’aggravent chaque fois qu’elle mange.
  • Ballonnements qui s’aggravent aussi après avoir mangé.
  • Extrême limitation dans le choix des aliments.
  • Inflammation chronique des voies digestives.
  • Faiblesse musculaire et générale ; difficultés à se tenir debout.
  • Grande fatigue.
  • Sommeil non réparateur.
  • Vertiges
  • Maux de tête
  • Douleurs d’oreille
  • Eruptions cutanées inexpliquées.
  • Difficultés pour se déplacer, pour respirer.
  • Démangeaisons inexpliquées.
  • Aucune énergie en dehors d’une simple activité de 2 à 3 heures par jour.
  • Variations de température incontrôlables.
  • Agitation.
  • Perte d’attention et de concentration.

 

Nous les parents, nous avons peur. Nous n’avons aucune idée de la manière dont ce cauchemar pourra se terminer. Quand pourra-t-elle retrouver une vie « normale » ?

 

J’ai dû quitter mon emploi quelques mois après qu’Angela soit tombée malade après son vaccin pour pouvoir m’occuper d’elle à plein temps. Ce sont un naturopathe et un nutritionniste qui nous aident le plus ; ce sont ces deux personnes qu’Angela apprécie le plus.

 

Les frais se sont accumulés avec la perte de mon travail et le coût des traitements d’Angela.

 

Le cas d’Angela n’est pas unique. Un groupe de 70 filles du monde entier font l’impossible pour la soutenir. – Je suis personnellement en contact avec plus de 1000 parents (leur nombre augmente chaque jour)  dont les enfants souffrent des mêmes (voire pires) effets indésirables.

 

Même si Angela souffre beaucoup, nous devons néanmoins être reconnaissants car il y a des jeunes-filles qui font encore des convulsions après 5 ans, qui souffrent de paralysies, de troubles neurologiques. Il y a aussi des jeunes-filles qui ont payé le prix ultime : elles y ont laissé leur vie.

 

Il y a encore beaucoup de gens qui ne sont pas au courant que les symptômes dont leurs enfants souffrent sont dus au vaccin. Les preuves que le Gardasil est susceptible de provoquer ces symptômes sont pourtant accablantes.

 

Si je m’étais donné la peine de faire une recherche et si j’avais trouvé ce que je sais maintenant, nous aurions maintenant une jeune-fille normale et heureuse de vivre comme c’était absolument son droit le plus strict.

 

Nous avons voulu partager notre histoire dans l’espoir d’empêcher que pareil drame se reproduise dans une autre famille. Nous souhaitons aussi que notre témoignage puisse offrir quelque soutien aux familles qui sont également passées par ces souffrances. Nous pensons que c’est comme cela que nous pourrons aider Angela à supporter sa souffrance, à l’aider à réaliser que cette souffrance ne soit pas totalement vaine, à aussi garder la foi, à lui donner un peu de force et de courage.

 

Notre ultime message est simple : « Renseignez-vous bien avant de vous faire vacciner ! » (« Investigate before you inoculate ! »)

 

Source: SaneVax

  

« Le Gardasil n’a pas été évalué pour la cancérogénicité ou l’altération de la fertilité. Bravo ! Ils veulent vacciner toutes les jeunes-filles américaines  de 12 ans avec un vaccin contre le cancer et ils ne savent même pas avec certitude si oui ou non le vaccin lui-même serait susceptible de provoquer le cancer, ou de rendre stériles les filles qui se font vacciner! » Dr Tim O'Shea – HPV – the First Cancer Vaccine Dr Tim O’Shea. http://www.whale.to/vaccines/gardasil_q.html 

 

Partager cet article
Repost0
6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 13:20

Vaccination HPV : Dommages et décès indemnisés

 

Des millions de dollars versés aux familles

 

Révélé par l’association américaine Judicial Watch

 

Par Kent Garth, 20/03/2013

 

dieu-dollar

 

 

Extrait :

 

Après avoir déclaré que le vaccin était destiné à prévenir les maladies sexuellement transmissibles chez les filles et les garçons d’environ 11 ans, le gouvernement fédéral  vient de payer 6 millions de dollars en dédommagement des effets secondaires de cette vaccination. Ce dédommagement a aussi été attribué pour au moins deux décès après le vaccin.

 

Il est à noter que le gouvernement n’a pas encore réglé la moitié des 200 plaintes introduites.

 

L’association indépendante « Judicial Watch » a déposé une demande d’accès à l’information auprès du Ministère de la Santé. Ces documents montrent que le Programme National d’Indemnisation du Ministère pour les victimes des vaccinations (VICP) a accordé 5.877.710 dollars à la suite des plaintes introduites par 49 victimes du vaccin HPV. Cette somme inclut aussi les payements effectués pour deux décès provoqués par le vaccin.

 

Judicial Watch  a pu mettre en évidence les faits suivants :

 

- Seules 49 des 200 plaintes déposées pour dommages et décès à la suite du vaccin HPV ont été indemnisées. Des 49 plaintes introduites, 47 l’ont été pour dommages dus au vaccin HPV, les deux autres plaintes concernaient des décès.

 

- 92 (près de la moitié) des 200 plaintes sont encore en suspens. Parmi ces plaintes encore en suspens 87 portent sur des dommages causés par le vaccin HPV, les 5 autres plaintes sont relatives à des décès.

 

- 59 plaintes ont été d’emblée rejetées par le VICP (Programme National d’Indemnisation des Victimes de Vaccinations). Les supposées victimes n’ont reçu aucun dédommagement. Parmi les plaintes rejetées, 57 concernaient des dommages, les deux autres concernaient des décès qui auraient été causés par le vaccin HPV.

 

- Le montant alloué aux 49 demandes d’indemnisation s’élève à 5.877.710,87 dollars, ce qui équivaut à environ 120.000  dollars pour chaque plainte.

 

Le VICP accorde une indemnisation pour des dommages provoqués par certains vaccins. Le site du Ministère de la Santé décrit le programme d’indemnisation comme étant « un système de reconnaissance sans faute» et qui comprend 16 types de vaccins dont celui contre le HPV.

 

Comme l’a rappelé le WND (Agence de presse américaine), le gouvernement fédéral a recommandé la vaccination HPV pour les jeunes filles et les garçons de 11 ans. Mais cette vaccination a provoqué des milliers d’effets secondaires, y compris des crises d’épilepsie, des paralysies, des cécités, des pancréatites, des problèmes de langage, des pertes de mémoire à court terme, des Syndromes Guillain-Barré et même des décès.

 

« Selon les Annales de Médecine (Annals of Medicine) , « Il n’y a actuellement aucune donnée significative montrant que le Gardasil ou le Cervarix (GlaxoSmithKline) puisse empêcher quelque type de cancer du col utérin, étant donné que la période de tests utilisés était trop courte pour pouvoir évaluer à long terme les bénéfices de la vaccination contre le HPV. »

 

Tom Fitton, Président de Judicial Watch, s’en référant à l’information concernant les plaintes, a déclaré : «  Cette nouvelle information du gouvernement montre que les craintes au sujet des graves effets secondaires du Gardasil étaient parfaitement fondées. »

 

Il a ajouté : « Les officiels de la Santé devraient arrêter de recommander le Gardasil pour les enfants. »

 

Chiffres officiels du VAERS (Agence officielle américaine qui recense les effets secondaires des vaccins) de mars 2011 à mars 2012 pour les vaccins HPV (La dernière colonne concerne les pourcentages d’augmentation au cours des 12 derniers mois)

   

VAERS-mars-2011.jpg 

Les chiffres comparés comprennent 1. Les handicaps, 2. Les décès, 3. Personnes qui n’ont pas récupéré. 4. Les frottis anormaux, 5. Dysplasie cervicale, 6. Vies mises en danger, 7. Recours aux urgences, 8. Hospitalisations, 9. Longue période d’hospitalisation, 10. Cas graves, 11. Total des effets secondaires.

 

Chiffres officiels du VAERS concernant le vaccin HPV arrêtés en août 2012

 

VAERS-truth-about-gardasil.jpg

 

1. Les handicaps, 2. Les décès, 3. Personnes qui n’ont pas récupéré. 4. Frottis anormaux, 5. Cancer du col de l’utérus, 6. Vies mises en danger, 7. Recours aux urgences, 8. Hospitalisations, 9. Longue période d’hospitalisation, 10. Cas graves, 11. Total des effets secondaires.  

 

Sources : Wnd.com, SaneVax, & Stop-Gardasil.overblog.com

 

Chez nous, on continue de proposer cette vaccination dans le cadre scolaire « comme si de rien n’était », et bien sûr, sans jamais informer les parents de ce genre d’indemnisations versées à des victimes de ces vaccins si sûrs et si bien tolérés !

 

Sur Doctissimo également, c'est "motus et bouche cousue" et nous apprenons en effet à ce sujet que des internautes ayant tenté de posté ces informations importantes ci-dessus en vue d'informer les lecteurs de ce site, ont été purement et simplement CENSURES avec la réponse suivante du modérateur de ce site pro-pharmas :

 

"Propos tirés d'un site de propagande anti-vaccin ne constituant pas une source valable."

 

Partager cet article
Repost0
30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 20:00

marketing-social-arm-cancer.JPG

On savait que les mé(r)dias n'étaient pas à un mensonge près mais là, ça apparait décidément de façon encore plus criante, puisqu'ils encouragent les mensonges des professionnels de santé,  selon un récent article du site anglophone SaneVax.

 

Extrait:

 

« La semaine dernière, plusieurs articles de presse ont signalé que 44% des parents américains refusaient les vaccins Gardasil et Cervarix pour leurs enfants. Entre 2008 et 2010 le pourcentage des parents préoccupés par la sécurité de ces deux vaccins a presque quadruplé. En 2010, seulement 32% des filles concernées ont été vaccinées contre le HPV. Qu’est-ce qui ne tourne pas rond dans toute cette histoire ?

 

Extraits de presse du 18 au 22 mars 2013 :

 

  • USA Today  Le pourcentage des parents qui ne veulent pas faire vacciner leurs filles contre le papillomavirus est à la hausse, en dépit du fait que les médecins recommandent de plus en plus la vaccination. Les parents se préoccupent davantage de la sécurité et des effets secondaires possibles des vaccins contre le papillomavirus. - 16% des parents ont mentionné leurs craintes comme étant la raison principale pour laquelle ils n’ont pas fait vacciner leurs filles en 2010, contre 5% en 2008.
  • Medpage today  Des parents déclarent de plus en plus s’inquiéter au sujet de la sécurité des vaccins HPV. Ils ne veulent plus faire vacciner leurs adolescentes…
  • CNN Health Chaque année les inquiétudes des parents ne cessent de croître au sujet de la sécurité du vaccin HPV. De 4,5% en 2008, cette tendance est passée à 16,4% en 2010… Le nombre des parents qui ont déclaré ne plus vouloir vacciner leurs enfants contre le HPV n’a cessé de croître ; il est passé de 38,9% en 2008 à 43,9% en 2010. Le sujet principal de préoccupation était la sécurité.
  • CBS News  Une des raisons principales pour lesquelles les parents ont déclaré qu’ils ne voulaient pas que leurs enfants soient vaccinés contre le HPV est la question de la sécurité.
  • FiercePharma  Un nombre croissant de parents américains déclarent qu’ils ne feront pas vacciner leur fille…Cette tendance contribue à diminuer les bénéfices  de Merck (Gardasil) et de GSK (Cervarix).
  • The New York Times …Sans écarter la nécessité d’aborder les problèmes de sécurité, l’augmentation des taux de refus du vaccin contre le HPV, fait comprendre que pour la vaccination généralisée, il faudra autre chose que des campagnes de marketing. Il faudra que les professionnels de santé racontent une meilleure histoire aux parents et aux jeunes sur la vaccination HPV. (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Il appartiendrait donc au contribuable de financer les campagnes de marketing social ? Il faudrait trouver de meilleurs moyens pour persuader les parents ? De qui se moque-t-on ? Qu’est devenu le journalisme d’investigation ? Qu’en est-il des faits eux-mêmes ? Où peut-on encore trouver du journalisme juste et équilibré ?

 

Ne serait-il vraiment venu à l’idée de personne que les 43,9% des parents qui refusent ce vaccin puissent avoir quelques inquiétudes légitimes ?... Après tout, ce ne serait pas la première fois qu’un médicament approuvé par la FDA comme « sûr et efficace » se serait avéré ne pas correspondre à ce qui avait été annoncé. Serait-ce bientôt le tour du vaccin HPV ? »

 

Exemple-de-marketing-social--Emirats-arabes-unis-.jpg

Exemple de marketing social avec une campagne aux Emirats Arabes Unis. Le logo mensonger tatoué sur le bras des filles vaccinées dit ceci: "Arme contre le cancer" (On parle de cancer car ce mot fait peur, ainsi, même s'il n'est absolument pas prouvé que le vaccin puisse prévenir le moindre cancer, on crée de toutes pièces une peur (du cancer) et on amène dans le même temps la fausse solution sur laquelle doivent se jeter les moutons.(= la vaccination).

En montrant plusieurs jeunes filles, on essaie de susciter "un effet de groupe" (les moutons ont l'esprit grégaire... cela les rassure de savoir que d'autres "le font aussi").

 

Les experts veulent que les gens s'habituent à constater des convulsions, des syncopes et des décès chez les vaccinées, sans pour autant faire le lien avec la vaccination!

 

... L'image de la vaccination est en danger si ces effets se manifestent en classe déclare un expert, il faudrait donc faire savoir aux gens qu'ils doivent s'attendre à ces effets et que ce n'est pas forcément lié.

 

Autre extrait:

 

« Le Comité consultatif d’Israël sur les maladies infectieuses et des vaccins a tenu une téléconférence le 30 janvier 2013 pour discuter, entre autres, de la proposition d’introduction de vaccins contre le HPV dans le programme de vaccination scolaire.

 

Le relevé officiel des notes de cette réunion (11 février 2013) offre des perspectives intéressantes pour les consommateurs qui s’interrogent sur la sécurité du vaccin contre le HPV.

 

Ron Dagan, MD est professeur de pédiatrie et spécialiste des maladies infectieuses de l’université Ben-Gourion du Néguev à Beer-Sheva (Israêl) et directeur de l’Unité des maladies infectieuses en pédiatrie au Centre médical de l’université de Soroka, également à Beer-Sheva. Les travaux du Dr Dagan, chercheur actif et conférencier international se concentrent sur les nouveaux vaccins conjugués. Ses conseils d’expert au Comité consultatif d’Israël concernant  les possibilités de mise en œuvre du programme de vaccination contre le HPV sont les suivants :

 

« Nous avons affaire à des injections, dont certaines sont administrées en 3 doses séparées à des adolescentes. De nombreux effets secondaires sont à prévoir. Au cours de la semaine suivant l’administration des injections, on peut s’attendre à de nombreux événements graves qui ne sont pas liés/reliés à la vaccination : évanouissements, convulsions et décès. Ceci doit être pris en compte. La chose  pourrait peut-être ne pas paraître rationnelle, mais si jamais ces événements devaient se produire en classe, ils pourraient entacher la perception/ le statut général des vaccinations. Ca arrive partout dans le monde à chaque instant. […] En ce qui concerne les effets secondaires, nous devons être préparés et pas nous contenter de réagir après coup. Je propose que nous nous concertions avec les représentants anglais sur la manière dont ils s’y sont pris à ce sujet. Nous devons nous préparer à administrer le nouveau vaccin… »

 

Si ceci constitue un exemple de ce que les experts peuvent conseiller au sujet des vaccinations, il n’est pas étonnant que les consommateurs de soins médicaux s’interrogent sur la sécurité du vaccin anti-HPV, son efficacité et sa nécessité. Ainsi nous devrions nous attendre à de nombreux effets secondaires : évanouissements, décès, convulsions au cours de la semaine qui suit la vaccination – et tout cela sans qu’il y ait de rapport avec le vaccin ? Il faudrait aussi se préparer aux effets secondaires, consulter les autres pays pour voir comment ils s’y prennent ?...

 

Alors que faut-il faire pour résoudre le problème des vaccins contre le HPV ?

 

Les inquiétudes des parents concernant la sécurité du vaccin HPV ne vont pas se volatiliser à la suite des campagnes organisées par les médias sociaux. Les conseils des professionnels de santé qui « savent mieux » que quiconque ne va pas  changer l’avis des parents sur le Gardasil, le Cervarix ou n’importe quel autre vaccin. Les platitudes et les garanties non fondées ne sont désormais plus suffisantes.

 

jessica-vega-after-gardasil.jpg

                                                   Jessica Vega après le Gardasil

 

Le temps est venu pour les autorités sanitaires gouvernementales d’exiger des producteurs de vaccins HPV qu’ils prouvent ce qu’ils prétendent ou qu’ils retirent leurs produits du marché. Les consommateurs de soins médicaux exigent aujourd’hui des faits qui soient prouvés scientifiquement – les vaccins doivent être sûrs, utiles et efficaces – rien de moins n’est acceptable. »

 

Source: Activist Post

 

Partager cet article
Repost0
8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 12:39

Inquiétudes au sujet des effets secondaires

du vaccin HPV

 

Les parents affirment ne pas avoir été avertis des dangers

 

Inquietudes-au-sujet-du-vaccin-HPV.JPG

Deborah est devenue gravement malade après avoir reçu son vaccin HPV

 

Par Janet Boyle, the Sunday Post, 7 mars 2013

 

DES CENTAINES D’ECOLIERES ONT FAIT DES REACTIONS INDESIRABLES APRES AVOIR ETE VACCINEES AVEC LE VACCIN HPV

 

Un groupe de surveillance de la Santé a admis que 1.101 effets secondaires ont été rapportés depuis que le vaccin Gardasil a été introduit dans les écoles britanniques il y a six mois.

 

Ce sont des filles de 12 et 13 ans qui sont concernées. Elles souffrent de difficultés respiratoires, de crises d’épilepsies, de douleurs articulaires, de fatigue et de troubles digestifs.

 

Des parents affirment ne pas avoir été informés des dangers potentiels du vaccin, alors que des militants ont aussi exprimé leur inquiétude.

 

Les autorités continuent cependant d’affirmer que le vaccin est sans danger.

 

Jackie Fletcher a déclaré : « Nous n’apprécions guère que les parents aient à déplorer un manque d’information à  propos de la sécurité de ce vaccin. Cette situation ne leur permet pas de faire un choix éclairé. »

 

Les autorités ont proposé cette vaccination aux adolescentes dès 2008 pour les protéger  du papillomavirus humain qui provoque la plupart des cancers du col de l’utérus. C’est le Cervarix qui a été choisi pour la première phase du programme de vaccination parce qu’il présentait les meilleurs avantages. Plus de cinq millions de doses ont été administrées.

 

Des inquiétudes se sont cependant manifestées quand des effets secondaires ont été signalés. Au mois d’août, le Cervarix a été remplacé par le Gardasil. Mais on peut dire qu’après ce vaccin également, des filles sont tombées gravement malades. Sherrel Halliday de Cawdor dont la fille aînée Déborah, 15 ans avait souffert d’épuisement et de troubles articulaires après avoir reçu le Cervarix, déclare : «  On nous a demandé de faire vacciner notre plus jeune fille Katherine, 13 ans avec le Gardasil. L’école ne nous a jamais parlé d’effets secondaires, même après que j’aie posé des questions sur la sécurité du vaccin. En fait, la brochure d’information distribuée par l’école ne ressemble pas du tout au document du fabricant à propos des effets secondaires. Ce document évoque des douleurs temporaires, oedèmes, maux de tête, nausées et température élevée. Est-ce trop que demander un peu d’honnêteté ? » Sherrel explique qu’après avoir reçu le vaccin Deborah savait encore à peine marcher. Elle s’inquiète que Katherine puisse également avoir des effets secondaires après le Gardasil : « J’ai été contactée par des parents dont les filles ont eu des effets secondaires semblables après la vaccination Gardasil. » Sherrel pense que les effets secondaires déclarés ne sont que la pointe émergée de l’iceberg. La plupart des parents ne savent pas comment s’y prendre pour déclarer des effets secondaires ou comment ils doivent s’y prendre pour demander au médecin ou à l’infirmière de faire ces déclarations. Un porte-parole du MHRA  a déclaré : «  Le Gardasil est un vaccin mis au point scientifiquement. Il est largement utilisé dans d’autres pays où des dizaines de millions de personnes ont été vaccinées. » Robert Marsh déclarait : « Des effets secondaires du Gardasil ont été signalés ; nous voulons témoigner de notre sympathie à toutes les personnes concernées. On estime cependant que les vaccins HPV peuvent sauver 400 vies par an au Royaume Uni. »

 

Un porte-parole du gouvernement écossais devait déclarer : « Les bénéfices du vaccin HPV pour la protection du cancer l’emportent sur les risques. »

 

« Les vaccins comme tous les médicaments comportent toujours un petit risque d’effets secondaires. Les professionnels de santé et les parents sont encouragés à rapporter tous les effets secondaires au MHRA en utilisant les formulaires jaunes. ».

 

Source: SaneVax

 

A souligner : là-bas, ils avaient initialement choisi le Cervarix puis suite à la médiatisation de plusieurs effets secondaires graves, ils ont finalement changé pour le vaccin Gardasil. Ici, c’est l’inverse, la Flandre a opté pour le Gardasil (dont les effets secondaires ont été mondialement plus médiatisés vu le nombre accru de doses utilisées par rapport au Cervarix) et la Communauté Française c’est jetée sur le Cervarix, « médiatiquement plus vierge ». Dans les deux cas, on assiste à la même idéologie et à la même minimisation des effets secondaires, sans cesse occultés aux parents. Des parents britanniques s’en plaignent ci-dessus mais un collectif comme le nôtre ou une association comme Vie Féminine avaient dénoncé il y a des mois le même phénomène de désinformation des jeunes et des parents à ce sujet.

Partager cet article
Repost0
20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:15

Vaccin anti-HPV Cervarix

 

LES REGRETS D’UNE FAMILLE

 

« L’un des pires cauchemars pour des parents est de voir leur enfant faire de graves réactions après une simple vaccination de routine. Mais pour beaucoup de familles, ce n’est souvent qu’un début. Ce sont des centaines et peut-être des milliers de familles de par le monde qui assistent à la détérioration de la santé de leur(s) enfant(s) après les vaccinations HPV. Elles passent souvent des mois et même parfois des années allant d’un spécialiste à l’autre dans une tentative désespérée de renverser la spirale descendante. Mais c’est souvent quand elles sont épuisées émotionnellement, psychologiquement et financièrement et qu’elles font appel aux services sociaux que les familles commencent à vivre leur véritable cauchemar quand elles se voient accusées d’avoir imaginé la maladie de leur enfant, de l’avoir provoquée, quand elles se voient accusées d’hystérie, de Munchausen par procuration etc… » Freda Birrell, Sanevax.

 

Le Syndrome Post-Cervarix : L’histoire de Lucy (Royaume-Uni)

 

Steve Hinks, 18 février 2013

 

Notre fille Lucy a contracté la rougeole une semaine après sa vaccination ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole). Le week-end suivant, elle a été admise à l’hôpital et placée dans une chambre d’isolement car il y avait suspicion de méningite. Quelques semaines plus tard, elle a développé un ganglion lymphatique dans le cou. Ce ganglion a dû être enlevé chirurgicalement.

 

Quand, par après, elle a rapporté de l’école un formulaire de consentement pour la vaccination HPV, sa mère et moi étions très réticents à accorder l’autorisation pour la série des trois injections.

 

Lucy-before-Cervarix.jpg

Lucy, avant le vaccin Cervarix

 

Cependant l’infirmière de l’école a rassuré mon épouse en lui disant  que le Cervarix était tout à fait sûr – rien à voir avec le vaccin ROR que Lucy avait reçu et qui lui avait valu tant d’ennuis. Elle a souligné que ce vaccin protégerait ma fille de 13 ans contre le cancer du col de l’utérus. Quels sont les parents qui pourraient refuser de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour protéger leur fille ?

 

Nous avons finalement accepté de mettre de côté l’expérience négative que nous avions connue précédemment et avons accepté de donner notre consentement à la série des vaccinations HPV. A ce moment-là, nous n’avions pas la moindre idée à quel point cette décision allait modifier nos vies.

 

Avant de recevoir le Cervarix, Lucy était une jeune femme en parfaite santé. Elle était parmi les meilleurs élèves de sa classe et n’avait pratiquement jamais manqué l’école.

 

Après la première et la deuxième injection du Cervarix, nous avons dû l’emmener plusieurs fois chez le médecin. Elle se sentait fatiguée et présentait des symptômes grippaux. C’était une chose tout à fait inhabituelle pour Lucy mais à ce moment, personne ne se doutait que ce qui se passait pouvait être vraiment préoccupant.

 

Le 4 mai 2011, Lucy a reçu sa troisième et dernière injection du Cervarix. Peu de temps après l’injection, elle téléphona à sa maman pour que celle-ci vienne la chercher à l’école et la ramène à la maison. Lucy avait l’impression d’avoir la grippe et se sentait épuisée. Néanmoins, le lendemain, elle rassembla toutes ses forces pour se rendre à l’école car c’était l’époque des examens. Sa maman et moi n’avions à ce moment aucune idée que c’était le commencement de la fin de notre vie normale.

 

La santé de Lucy commença à se détériorer rapidement. Elle a commencé à avoir des migraines persistantes, une fatigue inexpliquée, des douleurs articulaires et musculaires, des ecchymoses inhabituelles, des douleurs abdominales, des pertes de mémoire et une mauvaise circulation ; elle perdit l’appétit et commença à perdre du poids. Elle avait tout le temps froid. Nous avons dû l’emmener à deux reprises à l’hôpital.

 

Personne ne pouvait nous expliquer la cause des mystérieux symptômes que manifestait notre fille. Le seul indice que nous avions était la note que le pédiatre avait fait parvenir à notre médecin de famille et qui stipulait :

 

             «  Il est tout à fait possible qu’il s’agisse d’une réaction au vaccin HPV. »

 

Le 4 juillet Lucy, s’est effondrée d’épuisement et a dû à nouveau être emmenée chez le médecin. A cette époque elle avait déjà perdu 7 kilos ; sa fatigue chronique était devenue incontrôlable. Lucy a alors commencé à dormir 23 heures par jour. On pouvait tout juste la réveiller pour qu’elle prenne un peu de nourriture liquide ou un peu d’eau, mais c’était tout. Je ne puis compter le nombre de fois où sa maman s’est levée en pleine nuit pour s’assurer que Lucy respirait encore.

 

En septembre, Lucy a glissé dans un sommeil comateux. Au cours des 13 semaines suivantes, elle n’a plus ouvert les yeux et n’a plus pu parler. Ce fut pour nous parents, le pire cauchemar de notre vie.

 

Le nouveau pédiatre que nous avions consulté a cru qu’il s’agissait d’un cas grave de CFS/ME, (Syndrome de fatigue chronique/fibromyalgie) mais le traitement proposé ne pouvait être appliqué vu que Lucy n’arrêtait pas de dormir.

 

Juste avant Noël 2011, le vice-recteur de la plus grande université homéopathique du Royaume-Uni était venu nous rendre visite et avait promis de faire l’impossible pour sauver Lucy. Comme par miracle, Lucy se réveilla le lendemain.

 

Avec les soins de cet homéopathe, la santé de Lucy a commencé de s’améliorer de manière incroyable. Pour la première fois depuis des mois, elle fut capable de se nourrir seule. Elle a même pu regarder la télévision et surfer sur le web pendant de très courtes périodes. Après nous être sentis impuissants pendant des mois, nous avions l’impression d’assister à un véritable miracle.

 

Nous savons que nous ne sommes pas sortis de l’auberge, mais au moins maintenant, on peut espérer qu’elle va continuer à s’améliorer. La perte de poids de Lucy est toujours une préoccupation majeure.

 

Lucy-after-Cervarix.jpg

                                                                       Lucy, après le vaccin Cervarix

 

Lucy a continué à dormir beaucoup plus que d’habitude ; elle faisait au moins quatre siestes par jour. Le pédiatre a expliqué à notre médecin traitant qu’elle ne devait pas souffrir de fibromyalgie, mais qu’il devait s’agir d’une réaction à l’injection du vaccin.

 

Croyez-le ou non, nous n’en avions pas encore terminé avec le bouleversement de nos vies à la suite du vaccin HPV.

 

Début 2012, Lucy a dû se rendre, chaque semaine, chez un consultant en psychiatrie. On a voulu que Lucy soit admise dans une unité psychiatrique pendant une période de 3  à 6 mois pour permettre une évaluation de son cas .Quand nous nous sommes rendus dans cette institution, on nous a finalement fait comprendre qu’il ne s’agissait pas de la solution idéale pour Lucy. - Inutile de dire que nous avons de suite marqué notre accord.

 

La santé de Lucy a tellement continué à s’améliorer que nous avons planifié des vacances en juin pour toute la famille. L’infirmière de Lucy, notre médecin traitant, un consultant médical, tous ont jugé que Lucy était capable d’entreprendre un voyage et que ces vacances ne pouvaient que lui faire le plus grand bien.

 

Quelques heures avant notre départ, notre famille a été renseignée aux services sociaux et à la police. Heureusement, nous avons pu obtenir la permission de prendre nos vacances bien méritées, même si notre départ avait été retardé de plusieurs heures, nous provoquant un stress considérable.

 

A notre retour, pas moins de trois agents des services sociaux sont venus enquêter et faire des rapports. Ils nous ont finalement fait savoir par écrit en septembre que les services sociaux n’avaient pas à être mêlés à l’affaire.

 

En dépit de cela, juste avant la Noël, nous avons appris que la première enquête qui avait débuté en mai, était toujours en cours. Nous avons également appris que plusieurs réunions s’étaient tenues pour examiner la possibilité d’une maladie inventée de toute pièce ou provoquée. Personne ne pourra imaginer le degré de stress inutile que pareille nouvelle a provoqué dans notre famille. Comment a-t-on même pu imaginer la possibilité que nous ayons pu inventer pareille maladie ?

 

La santé de notre fille continue de s’améliorer. Peu à peu, elle reprend du poids. En septembre elle n’a plus éprouvé la nécessité de faire des siestes. Lucy a même repris le chemin de l’école à mi-temps et pour la première fois depuis 18 mois.

 

Comment a-t-on pu penser que nous avions imaginé sa maladie alors que nous nous sommes tellement battus pour améliorer sa santé et que les résultats ont suivi ?

 

Le fond du problème est le suivant : nous donnerions aujourd’hui n’importe quoi pour pouvoir revenir en arrière et changer d’avis au sujet du formulaire de consentement à la vaccination HPV pour notre fille.

 

Source: SaneVax

Partager cet article
Repost0
14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 22:20

Trinidad.png

On pourrait penser que c'est là une critique "de principe", liée à la croyance que la vaccination anti-HPV pourrait être associée à une émancipation sexuelle plus précoce.

 

Pourtant, il n'en est rien, ce n'est certainement pas là, la raison première des réticences de l'Eglise catholique romaine par rapport au programme vaccinal scolaire contre le HPV dans les écoles de Trinidad et Tobago.

 

L'Eglise locale est en effet opposée à la vaccination HPV en milieu scolaire et l'a fait savoir au Ministre de la Santé. En cause: l'insécurité du vaccin. L’Eglise catholique romaine a précisé que son Conseil d’Administration a évoqué les « graves dangers » résultant de l’utilisation de ce vaccin (y compris des décès) et elle a déconseillé aux parents la vaccination de leur fille avec Gardasil.

 

Après le positionnement gênant de l'Eglise, le Ministre s'est sans doute efforcé de "trouver un arrangement" et l'Eglise a adouci son opposition de départ mais en rappelant qu'il était indispensable que les jeunes filles et leurs parents puissent choisir en toute connaissance de cause, ce qui suppose de leur exposer la liste complète des risques graves, y compris mortels, possibles. En outre, l'Eglise a aussi insisté sur l'importance d'avoir un suivi suffisant des jeunes filles vaccinées dans ces conditions.

 

Il faut dire que le taux de cancers du col est nettement plus élevé dans ces pays que chez nous. Néanmoins, quand on sait que le frottis du col de l'utérus a permis, à lui seul, une réduction de 80% de la mortalité par ce type de cancer, on se dit que le prix de ces vaccins constitue un triste gaspillage au détriment d'un investissement prioritaire dans des programmes de dépistage organisé!

 

Source: Stabroeknews & Trinidad Express

 

Que ce soit Initiative Citoyenne (en 2011), Vie Féminine (en 2012) ou l’Eglise Catholique Romaine de Trinidad (en 2013), nous sommes toutes et tous intellectuellement en mesure de constater que les jeunes et leurs parents sont trompés et qu’ils ne bénéficient hélas pas de l’information honnête minimale suffisante pour choisir en toute connaissance de cause. Les risques graves du vaccin sont en effet constamment minimisés ou tus et les « avantages » du vaccin, sans cesse présentés de façon trop absolue. Nous avions écrit en son temps aux directions d’écoles, à la Ministre, aux associations de parents, comme vous pourrez le voir sur notre site. Vie Féminine aussi avait écrit à la Ministre…

 

En Belgique, seules 20% des jeunes filles visées ont reçu le vaccin HPV dans le cadre scolaire. Et le taux de vaccination a été 4 fois moins élevé dans les écoles de l’enseignement catholique (réseau libre), par rapport au réseau officiel, ce qui laisse supposer que les jeunes filles ont été MIEUX INFORMEES dans ces écoles-là que dans les autres sur les risques graves possibles de ces vaccins.

 

Mais un peu partout dans le monde hélas, la désinformation continue de battre son plein au sujet de ces vaccins. Pas plus tard qu’hier par exemple, un soi-disant expert officiel en vaccinologie à Madagascar, affirmait de façon trompeuse et non scientifique dans un grand quotidien de l’île que le vaccin HPV permettra d’éviter 98% des cancers du col, un chiffre qui ne repose sur absolument aucune preuve, bien au contraire. Ce chiffre de 98% dépasse même en effet les chiffres mensongers des fabricants (qui parlaient eux de 70% de cancers du col évitables) qui étaient déjà remis en cause par plusieurs spécialistes, comme le gynécologue Dr Spinosa qui expliquait bien, résultats d’essais cliniques du Gardasil à l’appui, qu’en réalité, les vaccins ne permettaient qu’une réduction des lésions précancéreuses dues aux souches 16 et 18 de l’ordre de 16,9% !!

 

 

Partager cet article
Repost0
22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 18:15

CERVARIX : témoignage de la maman de Paige suite au cauchemar post-vaccinal vécu par sa fille 

 

Margaret Brennan n’exprime qu’un seul regret :

 

« Pourquoi n’ai-je pas approfondi mes recherches ? »

 

HPV-Margaret-Brennman.JPG

 

"Cinq jours après la vaccination Cervarix, la vie de Paige, 14 ans, s’est transformée en véritable cauchemar. Paige était comme d’habitude en train de travailler à son ordinateur. A un moment donné, sa sœur dégringola les escaliers en hurlant que Paige faisait une (convulsive). On appela une ambulance et Paige fut conduite à l’hôpital aux soins intensifs. Après avoir séjourné un certain temps aux soins intensifs, elle fut transportée dans un autre service où elle est restée 9 mois. Les crises ont continué et la situation ne cessait de se dégrader au point qu’elle ne voyait plus rien, éprouvait d’énormes difficultés à s’exprimer ; au début elle parvenir tout juste à dire un mot, par après, elle devait terriblement lutter pour pouvoir formuler ses phrases.

 

Son état mental  n’est pas encore tout à fait normal ; elle éprouve beaucoup de difficultés d’apprentissage. Elle doit littéralement se battre pour pouvoir faire ce qu’une fille de 14 ans ferait sans aucune difficulté. Avant son vaccin, elle était une des filles les plus brillantes de sa classe à l’école Thomas Telford, une très bonne école. Elle avait beaucoup d’amis et était très sociable. Aujourd’hui, elle n’a plus d’amis, n’a plus la capacité de véritablement communiquer, elle est comme un petit enfant. Deux semaines après le vaccin, elle était incapable de vous voir, de vous entendre, incapable d’avaler quoi que ce soit. Elle devait être nourrie artificiellement. Son système immunitaire s’est retourné contre elle. L’état de Paige a évidemment terrifié ses copines. Pourrait-on dire qu’il est sage d’utiliser ce vaccin pour vacciner des jeunes-filles ? Sûrement pas. Le seul regret que j’ai est de n’avoir pas approfondi ma recherche avant de la faire vacciner. J’ai perdu énormément de temps, ce fut une terrible erreur. Ce que Page vit n’est plus une vie ! Les mois qu’elle a dû passer à l’hôpital ont bouleversé toute la vie de famille. Après le vaccin HPV, on a diagnostiqué chez Paige une encéphalite (anti-NMDA encephalitis), une maladie auto-immune récemment découverte et qui provoque de graves symptômes neurologiques."

 

Voir l’interview (vidéo) de la maman de Paige qui avait cru pouvoir protéger sa fille du cancer du col de l’utérus grâce à la vaccination. 

  

Margaret n’exprime qu’un seul regret : « Pourquoi n’ai-je pas approfondi mes recherches ? »

 

Voici ce que relayait le Daily Mail du 4 octobre 2009 au sujet de ce cas (extrait):

 

« Paige avait été vaccinée à l’école Thomas Telford de Shropshire. Quelques jours plus tard, Paige a commencé à se plaindre de maux de tête qui se sont vite transformés en migraine. Dans la suite, elle a fait une énorme crise et elle en fit encore deux avant son entrée à l’hôpital. Son état continua de s’aggraver au point de lui faire perdre la parole et la vue. Elle ne savait plus marcher et parfois elle perdait son souffle

 

Pour les parents de Paige, la pire chose à supporter, c’est qu’ils ont donné leur accord pour la vaccination qu’ils croient responsable de l’état de santé de leur fille. Je suis écrasée de culpabilité, explique la maman. Je voudrais tellement ne pas l’avoir fait vacciner !

 

La notice du vaccin n’évoquait comme effets secondaires que des vertiges et des vomissements.- Avant tout cela, je n’avais aucune inquiétude par rapport à ce vaccin. On ne nous a pas avertis de ce qui pouvait se passer.

 

Les médecins de l’hôpital nous ont dit que les vaccins pouvaient provoquer des maladies auto-immunes ; ils ont aussi admis que le vaccin pouvait être en cause. »

 

 De tragédies en tragédies....

 

Deux autres courtes vidéos concernant les effets secondaires

possibles du vaccin Cervarix, dont un cas mortel

HPV-Temoignage-1.JPG

 

Déborah souffrait beaucoup et ne savait plus rien faire

 

Déborah Halliday, une jeune-fille écossaise, a souffert pendant environ un an de vertiges, de grande fatigue, de nausées, de douleurs aux articulations dans tout le corps (les douleurs étaient vraiment atroces, explique Déborah) après avoir reçu le vaccin Cervarix. Sa maman reconnaît que sa fille ne savait pratiquement plus rien faire.

 

Le gouvernement continue d’affirmer que le vaccin est sûr et efficace. De son côté, le fabricant affirme que le bilan bénéfices/risques reste positif.

 

Voir la vidéo sur le cas de Déborah Halliday

 

Une jeune-fille de 14 ans décède dans les heures qui ont suivi

 l’administration du vaccin Cervarix 

  

HPV-temoignage-2.JPG 

Peu de temps après l’injection, la jeune-fille est devenue pale, s’arrêta de respirer et s’effondra. Elle fut conduite à l’hôpital où elle devait décéder peu de temps après. 

 

Courte vidéo sur ce décès (parmi tant d'autres...)

 

Voir aussi:

 

Les gays, nouvelle cible marketing pour les vaccins HPV

Partager cet article
Repost0
21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 22:10

En perte de vitesse, les coûteux (et dangereux) vaccins anti-HPV devaient absolument trouver une autre cible, c'est chose faite en la catégorie des gays puisque la Grande-Bretagne (pays où on offrait aux jeunes filles des bons d'achats en magasin si elles avaient réussi à supporter les 3 doses de vaccin HPV!) pousse à présent cette vaccination chez les jeunes homosexuels masculins.

 

En effet, l'Association Médicale Britannique (BMA) agite à présent le spectre des cancers anaux, péniens et de la gorge, ainsi aussi que les verrues génitales, pour soutenir son appel à l'extension de cette vaccination aux jeunes gays.

 

L'année dernière, le vaccin Cervarix bivalent (du producteur national GSK) a été remplacé au Royaume-Uni par le vaccin américain Gardasil de Merck là où Mme Laanan, Ministre belge, a acheté le Cervarix pour faire plaisir à cette même firme GSK implantée en Belgique, plutôt que le vaccin Gardasil, utilisé en Flandres sur le même public (ça en dit assez long n'est-ce pas sur le peu de sérieux de ces politiques vaccinales fantasques mais ô combien périlleuses!).

 

L'Association Médicale britannique préconise donc désormais de vacciner les jeunes gays contre le HPV (avec Gardasil), en même temps qu'on les vaccine contre l'hépatite B. Mais comme le sida ne peut absolument pas être prévenu par des vaccins et rend le port du préservatif indispensable, on se demande bien à quoi servent les vaccins anti-hépatite B et anti-HPV, à part à faire courir des risques disproportionnés d'effets secondaires irréversibles?!

 

Un dépistage médical chez un urologue, des préventions naturelles pour soutenir son système immunitaire et une prise de sang des deux partenaires pour dépister l'hépatite B sont des mesures bien plus rationnelles et logiques pour prévenir les risques des infections aux HPV et au virus de l'hépatite B, là où ces vaccins rempliront d'argent les poches des firmes et les corps d'aluminium et d'autres substances toujours délétères pour TOUS les organismes humains.

 

point-d-exclamation.png

Voir aussi:

 

Cervarix: témoignage d'une maman sur le cauchemar vécu par sa fille

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 22:45

LYCeenne-fotolia.jpg

Ce n'est même plus 60 ni 40% de couverture vaccinale comme prétendu à un moment donné dans Le Soir mais seulement 20% des jeunes filles à qui le divin vaccin avait été "offert" (quel cadeau!) qui l'auront donc effectivement reçu lors de l'année scolaire 2011-2012, soit la première année du programme. Bien sûr, avec le flou habituel des chiffres à la sauce belge, on ignore s'il s'agit de 20% des jeunes filles qui ont effectivement reçu la série complète des 3 doses de vaccin ou s'il s'agit seulement du nombre de jeunes filles qui ont commencé cette série d'injections. Quoi qu'il en soit, il est bon de savoir à ce propos qu'il y a une grosse déperdition entre la première et la dernière dose avec ces vaccins, indice extrêmement sérieux et solide de leur mauvaise tolérance.

 

Rappelons que Mme Laanan a acheté des vaccins Cervarix à GSK pour une durée de 4 ans et qu'elle escomptait l'année passée un taux de couverture de 60%. Pour cette année, Mme Laanan s'est donc mis la barre encore un petit peu plus haut puisqu'elle mise sur un taux de vaccination de... 80%, un objectif jugé vraiment "peu crédible" par le député CDH André du Bus.

 

En 2008 déjà, la prédécesseur de Mme Laanan, Catherine Fonck (médecin de formation), émettait des réserves et des réticences à ce que cette vaccination se fasse dans le cadre scolaire, estimant que cela n'était pas un contexte propice à une juste information et au libre choix des parents et jeunes filles, qui risquaient ainsi d'être sous pression.

 

Et c'est de fait ce qui s'est passé avec la publi-propagande orchestrée par Provac et la Fédération Wallonie-Bruxelles dès le début de l'année scolaire 2011-2012. Présageant qu'avec de tels acteurs, il ne pourrait qu'en être ainsi, notre collectif Initiative Citoyenne avait envoyé une lettre recommandée aux Ministres Simonet et Laanan dès l'été 2011, ainsi aussi qu'un courrier aux Associations de Parents UFAPEC et FAPEO et une communication à toutes les directions d'écoles secondaires.

 

La Ministre Laanan a rabâché un discours bien convenu qui ne répondait absolument pas à notre interpellation, quant aux associations de parents et aux directions, nous n'avons eu aucune réponse, ce qui en dit assez long sur leurs sens des responsabilités!

 

Par la suite, et relativement tardivement tout de même, l'Association Vie Féminine s'est foulée d'un courrier à la Ministre Laanan qui reprenait quasiment mot pour mot toute notre argumentation. Fort étrangement, Vie Féminine ne semble pas avoir ébruité sa position aux médias ...subsides publics en cause?

 

Mme Laanan obéit en fait à GSK, comme un discours troublant de 2010 de l'ex PDG de GSK en témoigne, et c'est donc surtout pour ça qu'elle a acheté ces vaccins, même si les prétextes officiels doivent être "plus présentables": il fallait copier la Flandre avec son Gardasil (en réalité: ne pas fâcher GSK qui n'avait pas été sélectionné par la Flandre pour ce marché), il fallait offrir l'accès à ce vaccin "aux jeunes filles défavorisées" et suivre l'avis des grands experts....

 

En novembre 2011 toutefois, le Jury d'Ethique Publicitaire taclait avec une vigueur et une objectivité rafraîchissantes, la publicité vaccinale trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles, concoctée avec la bénédiction de la Ministre Laanan: cette décision du 9 novembre tombait donc comme un couperet puisqu'elle venait démontrer que les autorités dites "publiques" ou "de santé" ne reculaient devant RIEN pour écouler des vaccins à tout prix, même si cela impliquait de désinformer et d'induire complètement les consommateurs en erreur, en exagérant les "bénéfices" et en taisant les risques!

 

Si on analyse avec un brin de lucidité la situation dans divers domaines, on ne peut que se rendre compte de la dangerosité de suivre aveuglément les avis d'autorités dites "publiques" ou officielles au seul prétexte que ça vient "des autorités":

 

- ces autorités ont par exemple recommandé le recours effréné aux mammographies de dépistage systématique dont on se rend compte à présent qu'elles exposent à un risque accru de cancer (dû aux irradiations et à la compression) et surtout à des traitements invasifs inutiles, avec tout le stress psychologique qui va avec.

 

- l'Académie de Médecine en France vient, sans surprise, de défendre les ondes électro-magnétiques en prétendant qu'il n'y a "aucun danger scientifiquement avéré", exactement comme elle l'a fait avec les vaccins et les adjuvants à base d'aluminium (en dépit d'innombrables preuves SCIENTIFIQUES!!)

 

- les autorités de différents pays offrent des cadeaux (bons d'achats en magasins, nourriture, pc portables, ipads etc) à ceux qui acceptent tel ou tel vaccin et maintenant, cette mode commence à s'étendre aux femmes qui accepteront docilement les mammographies! Si ces procédés médicaux étaient aussi sûrs et efficaces que cela, ces autorités auraient-elles vraiment besoin de tels subterfuges ridicules qui ne sont en réalité que de vulgaires pièges à gogos? 

 

etc etc.

 

Avec Provac aux manettes de cette communication propagandiste renforcée à destination des parents, des jeunes et des professionnels de santé, on peut s'attendre à ce que les effets secondaires gravissimes susceptibles de bousiller à jamais l'avenir de vos filles, soient lamentablement passés sous silence, exactement comme ce qui se passe avec les vaccins pédiatriques Infanrix hexa et Prevenar dont les risques sont savamment gardés confidentiels et restent donc même occultés aux médecins, censés pourtant informer les patients et juger du bienfondé de telle ou telle contre-indication à la vaccination!

 

Il ne faudrait en effet pas oublier que la responsable de Provac, le Dr Béatrice Swennen, a des conflits d'intérêts notables avec les fabricants de vaccins (cf page 4 du rapport) et on aperçoit par conséquent mal comment elle pourrait laisser passer la moindre information susceptible de dissuader les jeunes filles et leurs parents, dans les fiches ou brochures finales qu'elle est censée relire en "chef ultime" de cette mission ministérielle. Qu'il s'agisse des industriels ou des pouvoirs dits "publics" qui la rémunèrent, Mme Swennen n'a donc aucune raison de communiquer honnêtement sur le ratio bénéfices/risques éminemment défavorable de cette vaccination!

 

En tant que parent, ou en tant que professionnel de santé, il est, dans ces conditions, INDISPENSABLE d'assurer à vos enfants ou à vos patients une information honnête et juste sur ces vaccins expérimentaux et absolument superflus, tout en communiquant de façon constructive et efficace sur l'importance du frottis de dépistage, bien avant l'âge de 25 ans mais dès immédiatement après les premières relations sexuelles, ainsi que sur les fondamentaux d'une bonne hygiène de vie et les conditions d'un fonctionnement optimal du système immunitaire.  

 

Voir aussi:

 

Essais cliniques du Gardasil & du Cervarix en Inde: la Cour Suprême accepte la requête des plaignants

 

En Angleterre, 2000 écolières souffrent d'effets secondaires attribués au vaccin Cervarix

 

Gardasil & Cervarix: le hasard a bon dos!

 

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA